Transport et Mobilité

Un projet de création, porté par une association, est en cours de gestation dans le quartier Bourroches Port du Canal Valendons Montagne Sainte-Anne. Les grandes lignes en ont déjà été présentées à une réunion de la commission de quartier : il s'agit de proposer un accompagnement aux réparations courantes de nos véhicules, un conseil en matière d'acquisition de véhicules et plus largement une réflexion sur les modes de transport. Le projet démarrera à la MJC des Bourroches, qui dispose d'un garage comprenant une fosse. Dans le cadre des budgets participatifs 2016, il serait pertinent de contribuer à la création de ce garage participatif et solidaire, nouvel atout du quartier, en finançant l'acquisition de l'outillage à main. Ce financement est estimé à 7 000 € et pourrait être attribué à l'association qui porte le projet de garage.

Solidarité

Un garage solidaire "pointe son nez" dans le quartier des Bourroches. Le budget participatif pourrait-il financer une partie de cette mise en route ? cet événement aura sans nul doute un accueil favorable dans le quartier et bien au delà....

Education et Jeunesse

Le square du nuits st Georges est un grand lieu de rassemblement dans le quartier. Il serait judicieux d'installer des bancs mais autour du square (c'est à dire dans la partie pelouse).

Culture et patrimoine

Un livre est en cours d'écriture sur le quartier (mémoire du quartier). Il serait intéressant de le partager en réalisant une promenade autour du quartier, en installant des panneaux informatifs sur l'histoire des rues avec un livret explicatif ou si le budget le permet un système de repérage au sol type celui du centre ville.

Culture et patrimoine

Le puits en st Jacques reflète la mémoire du quartier mais peu de personnes ne la connaisse. Un réaménagement de ce site, nouvelles barrières, plantations d'arbustes, mise en place d'une plaque en plexiglace pour pouvoir voir les marchés du puits et installation d'un panneau explicatif du site et la chapelle serait intéressant à mettre en place.

Culture et patrimoine

Il serait intéressant de procéder à la réfection du puits Saint-Jacques avec mise en valeur par un panneau explicatif.

Sport

Suite a la modification des horaires d'ouverture (DIMANCHE) et à la création d'un accès permanent sur le boulevard des Bourroches, ce terrain est maintenant fréquenté 7/7 jours. Il accueille tout type de public. De ce fait, nous demandons la participation du budget participatif pour la réfection du sol et des murets, et grillage (apparition de trous et infiltrations d'eau importante pouvant provoquer un éventuel accident).

Sport

Le terrain de sport situé à proximité de la M.J.C. des Bourroches, dont le projet de réfection avait déjà été proposé et qui est un lieu très fréquenté par la jeunesse du quartier, a besoin d'une réfection du sol ainsi que du grillage de protection. Il est primordial que la jeunesse du quartier puisse bénéficier d'un terrain en bon état

Environnement

Au lieu de planter des arbres et arbustes ornementaux, pourquoi ne pas planter, dans le quartier mais aussi dans tous les quartiers de Dijon, des arbres et arbustes fruitiers ? Il s'agit, comme les projets de boîtes à livres et des "incroyables comestibles" (en cours de développement) de permettre aux citoyens de se réapproprier l'espace public. C'est aussi une façon de réintroduire la nature nourricière en ville (alors que la production agricole est de plus en plus loin des consommateurs). Et l'on pourrait alors grignoter ici une framboise, là une pomme... Le Jardin des Sciences pourrait être de précieux conseil sur le choix des variétés.

Environnement

Demande d'installation d'éclairage dans les jardins d’Eugène à la M.J.C des Bourroches. Cette démarche permettrait d'améliorer les nombreux moments de convivialité, deja mise en place par l'association, pour les habitants du quartier des BOURROCHES, CANAL, VALENDONS, SAINT-ANNE.

Cadre de vie et propreté

La Démocratie Locale a besoin de se voir octroyer du temps. Des temps de discussion, des temps d'information, des temps de sensibilisation, des temps d'éducation, des temps de débats, des temps de découvertes. Mais ces temps doivent s'installer dans un lieu, permanent, indépendant, central, respecté, et géré par ses acteurs. Aussi, je propose l'investissement d'un espace. Aussi symbolique que physique. Ouvert, permettant, à tous, à travers des projections de films, de reportages, de colloques, de conférences, de spectacles, toujours suivis de débats, de partager, de participer, de s'exprimer. De faire l'expérience des responsabilités nécessaires en Démocratie, qui passent avant toute autre chose par le temps du questionnement, de la recherche, de la prise de connaissance, du temps de la réflexion, puis celui de la discussion... "De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités" *Ce projet a pour vocation d'être proposé aux autres conseils de quartier, pour être mutualisé dans sa réalisation*

Cadre de vie et propreté

Il apparaît responsable, en temps qu'utilisateur de la mécanique démocratique, de se pencher sur son entretien, au risque de la voir rompre et devenir inutilisable. A l'inverse, chacun se sentant responsable de sa bonne marche à autant le pouvoir que le devoir moral de participer à son amélioration. La vocation d'un groupe ouvert sur les mécaniques démocraties est : -d'y mobiliser les utilisateurs concernés par la pérennité de la Mécanique (recensement des dysfonctionnements, des points d’achoppement, des approximations, des améliorations, des suggestions, des points de vigilance, etc...) -de réfléchir à ces points. -d'apporter des solutions concrètes. *Cette démarche est bien entendue globale, et à pour vocation d'être nécessairement ouverte - et proposée - à l'ensemble des commissions de Quartiers*

Transport et Mobilité

On sait que les aménagements urbains contribuent à façonner nos modes de transport. Pour développer l'usage des vélos, développons les pistes et voies cyclables. La priorité est d'équiper les grands axes de notre quartier : avenue Eiffel, rue de Chenove et boulevard des Bourroches. Il serait pertinent d'y réfléchir en concertation avec la Bécane à Jules, acteur du quartier, ainsi que les usagers ou futurs usagers volontaires.

Transport et Mobilité

Installer des bornes de recharge pour véhicules électriques (voitures, motos et vélos) afin de promouvoir les déplacements sans émission de particules fines cancérigènes (OMS) et de gaz polluant. Il faudrait faire un programme pluriannuel pour répartir l'installation des bornes de recharge rapide dans toute l'agglomération à des endroits où les citoyens restent au moins 1h. Ces bornes pourraient être installées dans les parkings municipaux, près du parc de la Colombière et du jardin de l'arquebuse, à côté des piscines, cinémas, zénith, centres commerciaux... La vente de voitures électriques a progressé de 60% en 2015. Idem pour les vélos électriques. Pourquoi aussi ne pas remplacer les velodis par des vélos électriques ? Ça se fait à Madrid avec recharge sur les stations... Ikea, Carrefour, Castorama, Renault et Nissan ont montré l'exemple en installant des bornes sur leur parking mais ces bornes saturent rapidement et ne sont pas en centre ville. Par ailleurs, ces installations pourraient attirer les riches propriétaires de Testa ou BMWi8 capables de faire 400 km en voiture électrique. Ils pourraient passer leur temps dans un commerce dijonnais ou un bon restaurant pendant la recharge.

Cadre de vie et propreté

La nouvelle chaufferie des Valendons est fonctionnelle. Pas de bruit incessant de camions, le ronronnement sourd qui se faisait parfois entendre au début de la mise en service a disparu, ce point semble maîtrisé. Les fumées ne dégagent pas d'odeurs désagréables. Bref, les principales craintes liées à cette chaufferie semblent écartées. En revanche, la pollution visuelle est inévitable. A cet endroit s'étendaient de jolies pépinières avec en arrière-plan, le plateau de Chenôve. Un écrin de verdure. Aujourd'hui, une grosse usine avec de grandes cheminées et d'improbables rayures marron sur la façade (était-ce là une tentative "déco"?). Certes, une usine peut difficilement être belle, tout le monde en convient. Mais quand on vit à proximité et que l'on contemple sa laideur au quotidien, c'est un peu déprimant ! Pourquoi ne pas essayer de masquer autant que possible cet édifice disgracieux par un écran de verdure ? En plantant tout autour du terrain des végétaux qui pousseraient très haut, et rapidement (arbres, bambous?) et qui, à terme, masqueraient le bâtiment. Cela permettrait modestement de redonner à cet endroit un peu de sa beauté d'autrefois malgré la présence de la chaufferie.

Environnement

Le centre historique de Dijon, qui est marqué par une forte minéralité qui lui donne certes son caractère propre et sa beauté, n’est, qu’à la marge, concerné par les milieux aquatiques. En d’autres termes, les cours d’eau et autres zones aquatiques naturelles ne sont peut-être pas assez valorisés. L’objet de ce projet participatif serait de revaloriser/réhabiliter les rares éléments aquatiques du centre-ville et ce, si possible, dans le cadre d’une démarche scientifique relative à l’étude et à la restauration des biotopes aquatiques naturels ou non en milieu urbain. Ce projet s'inscrit naturellement dans une démarche de long terme mais ce projet vise à amorcer le processus. Le jardin de l’Arquebuse : un laboratoire de premier plan Le jardin de l’Arquebuse, qui est en quelque sorte le poumon vert du centre-ville (le jardin de taille conséquente le plus accessible à pied à partir du centre), est qui, de surcroît, regroupe « trois entités dédiées à la biodiversité : le muséum, le jardin botanique et le planétarium » ainsi qu’un arboretum de près de 600 feuillus. Le parc de l’Arquebuse a, en outre, la chance d’être traversé par le ruisseau du Raines, une probable résurgence d'eau du Suzon. Sont également présents des petits bassins ainsi que des ruisseaux ornementaux et d’irrigation qui sont aussi des lieux de vie aquatiques dignes d’intérêt. Enfin, le grand bassin central du jet d’eau peut à la rigueur être mentionné comme un pôle d’attraction notamment d’insectes odonatoptères (libellules) ou autres. Enfin cette réhabilitation ne présente pas uniquement un intérêt scientifique mais aussi une cohérence pédagogique (écoles, étudiants, visiteurs du muséum), esthétique (habitants promeneurs et leurs jeunes enfants, touristes, visiteurs de la future et proche Cité de la gastronomie…). Les étapes du projet Etape 1 : Pilotage d’étude par une équipe scientifique (thésards) du CNRS, de l’Université de Bourgogne ou d’autres entités universitaires régionales ou organismes scientifiques (appui éventuel de l’ Onema) qui consisteront principalement -A l’analyse chimique de l’eau pour détecter la présence et le niveau dans les eaux des polluants ou micropolluants - Au recensement en amont des aménagements perturbateurs ou non (petits barrages, ouvrages, ruptures, déviations) au sein du cours d’eau ¬ A partir de cet état de l’art initial l’étude de la mise en valeur des espèces aquatiques présentes et de la réintroduction d’espèces animales (poissons, amphibiens, crustacés décapodes, mollusques dulcicoles etc.) et végétales locales aujourd’hui raréfiées, menacées ou disparues. Etape 2 Nettoyage et curetage (éventuel) des différents milieux aquatiques présents ( Raines, bassins, etc) selon les préconisations des scientifiques

Education et Jeunesse

Il existe des jeux, rue du père de Foucault, mais aucun sur le haut de la Montagne Ste-Anne, alors que des couples avec des enfants en bas âge et en âge scolaire se sont installés dans le quartier. Plusieurs habitants ont exprimé le désir d'installer une aire de jeux sur le square dominant la place de la fontaine Sainte-Anne.

Cadre de vie et propreté

L'entretien du Centre Ville est privilégié même si de nombreuses incivilités persistent. Néanmoins, on constate que dès que l'on s'éloigne du cœur de Dijon, les quartiers ne font pas l'objet des mêmes attentions. C'est assez regrettable. Je suis déjà intervenue sur le sujet et l'on m'a répondu que les efforts portaient sur des zones où existaient des établissements accueillant du public. D'où ma surprise car rue Daubenton existent 2 lycées, le CIO et la Chambre des Métiers. N'oublions pas non plus la rue Charles Dumont avec l'institut de formation des Professeurs des Ecoles, une mosquée et quelques commerces. J'ajouterais une suggestion : installer des corbeilles à proximité des commerces, notamment d'alimentation. Il y en a très peu dans le quartier. Pourquoi ne pas imaginer utiliser une part de ce budget participatif pour un passage supplémentaire de vos équipes d'entretien !

Transport et Mobilité

Une passerelle pour enjamber l'Ouche à hauteur des nouveaux immeubles près de l'écluse pour rejoindre plus facilement le quartier de l'Île et la rue d'Alger à pieds (lycée, collège).

Transport et Mobilité

Au début du Quai Gauthey il y a un trottoir très large et les véhicules se garent dans tous les sens au point d'obliger les piétons à slalomer pour passer. La solution serait de faire des parkings en épis, ce qui laisserait encore suffisamment de place pour un trottoir pour les piétons.

Transport et Mobilité

Il n'existe pas de piste cyclable avenue Eiffel, dont le trafic automobile est intense et insécurisant en vélo. Le tracé continu d'une piste cyclable à double sens permettrait de sécuriser les cyclistes. J'insiste sur l'importance d'un tracé continu de la voie, car les tracés ponctuels de certaines rues de Dijon ne sont pas pertinents pour les automobilistes et sont donc insécurisants pour les cyclistes.

Cadre de vie et propreté

De nombreux trottoirs ne sont pas goudronnés à Dijon même en centre ville. Pourquoi ? Avec la pluie, la boue et les feuilles mortes salissent les trottoirs qui deviennet glissants donc dangereux. Je propose de commencer, par exemple, par l'enrobage des trottoirs de l'avenue de l'Ouche, de la rue du Pont des Tanneries et de la rue des Corroyeurs.

Culture et patrimoine

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