Grésilles
Cadre de vie et propreté
Sur le même principe que les boîtes à livres qui rencontrent un grand succès dans la ville, la boîte à dons, plus grande (de la taille d'une armoire à peu près), permet de donner des vêtements, des bibelots, des jouets, des petits objets divers et variés dont on souhaite se séparer. Elle peut également accueillir un espace avec des photos pour les objets plus grands (meubles par exemple), et le contact de la personne qui le donne. C'est un principe qui commence à se répandre (par exemple à Gevrey-Chambertin, ça marche très bien ! ou à Quimper sur la photo).
2000 €*
* Coût prévisionnel et estimatif, susceptible d'évoluer
Interquartiers
D’un côté, moins de crottes sur les trottoirs, de l’autre, de la lumière à pas cher... Concrètement, les propriétaires de chiens du quartier sont invités à déposer les crottes de leur animal par une trappe installée dans ce réverbère forcément pas comme les autres. Au cœur de ce dernier, les déjections sont transformées en énergie. Et la lumière scintille. Selon l’inventeur, dix sachets d’excréments suffisent pour produire de la lumière pendant deux heures. Les lampadaires à gaz sont moins nocifs vis-à-vis de l’environnement que les LED ; ces derniers diffusent en effet une lumière bleue faisant fuir les chauves-souris. Contribuer à rendre la ville plus propre et le faire de façon durable et environnemental et ça existe déjà au Royaume Uni. Alors pourquoi pas à dijon ?
0 €*
La vie associative dijonnaise est très riche, et trop peu connue des habitants. Le projet consiste à réaliser des panneaux d'affichages pour les associations (uniquement elles) pour afficher leur prochain évènement (conférence, visite, fête...), mais aussi (très important), ce panneau sera une tribune d'expression et d'information. Les associations pourront publier sur 3-4 pages, par exemple, tout texte en relation avec leur activité, texte sous leur responsabilité. Ces panneaux visibles pour les piétons (trottoirs, parcs,...) seront alors une source d'information de la vie associative. Sur un même panneau s'expriment plusieurs associations. Reste à définir le temps que resteront les informations ("turn over"), comment seront gérés ces panneaux (mairie ou inter associations; charte à rédiger), une vitrine pour protéger les feuilles ou pas,... Les feuilles seront fourni par les associations, la mairie n'a rien à imprimer. Ces panneaux ne seront pas éclairés (sobriété énergétique).
1800 €*
Environnement
Planter des arbres : Objectif pédagogique : participation des enfants (écoles, collèges...) Santé : générer de l'oxygéné Biodiversité : abris pour animaux (oiseaux...)
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Transport et Mobilité
Rue Branly, entre la rue Arago et le square Lavoisier, se trouve des garages sur une voie NON PRIVÉE et mal éclairée. Les vitesses des véhicules sont excessives alors que nos enfants jouent du côté des maisons. Certains véhicules (à différentes heures plus tardives) se garent au milieu de la voie. La demande serait de fermer un des deux accès par des rochers, des bacs fleuris (comme devant l’entrée de la foire) ou une grille de façon à bloquer les véhicules tout en laissant un passage pour les piétons (poussettes, vélos, secours....)
Travail avec le jardin de L'Arquebuse : élaborer une forme "d'étiquetage".
3000 €*
Vu que l’époque est à la transparence et que nos élus le sont par nous et pour nous, il serait bon qu'ils nous disent ce qu'ils font pour nous. Pour ce faire ils pourraient afficher leurs agendas en toutes transparences, qu'ils voient et pourquoi, je sais que certains ont peur et qu'ils pensent que certaines choses doivent rester secrète mais ils oublient qu'ils ont été élu et ils doivent des comptes à leurs électeurs, contrairement aux dictatures, aux royaumes et empires... bref faites nous part de ce que vous faites pour nous : donc je propose un agenda ou l'on pourrait choisir l'élu, la date et le sujet du RDV et qu'on puisse aussi en avoir un compte rendu en historique, la démocratie par nous et pour nous ... la bise à toutes et à tous
Hors dispositif
Solidarité
Améliorer la qualité de la vie et investir dans la vie de la cité ne se fait pas uniquement par des réalisations matérielles. En effet l'environnement humain y participe beaucoup. C'est pourquoi je propose qu'à l'aide de ce budget, l'on aide des enfants dans leur scolarité, des parents, hélas, n'en ont pas toujours la possibilité. Un soutien scolaire, des cours pourraient être utiles. Certes des arbres, des feux rouges sont utiles, mais souvent dérisoires faces à l'avenir de nos enfants. Les boites à livres c'est bien mais savoir lire est encore mieux.
Culture et patrimoine
Le kiosque de la place Wilson est souvent inutile, pourquoi ne pas proposer des concerts libres les weekends, un peu de flonflon, un peu de rap, un peu de rock, un peu d'accordéon et tout ce qui peut faire danser ... faisons vivre le kiosque de la place Wilson ...
Installation d'une armoire à manger partagée. Pour lutter contre le gaspillage alimentaire, poser les aliments non périssables que l'on n'utilise plus pour en faire profiter d'autres personnes. Pour info, voir les sites suivants : https://fr.ulule.com/armoire-partagee/ https://mrmondialisation.org/armoire-locale-partagee-pour-lutter-contre-la-precarite/
En attente
L’utilisation des bacs à compost permettrait la réduction des déchets.
Déjà prévu
La ville pourrait installer des composteurs à la disposition des citoyens, ce qui permet aux habitants de contribuer aux efforts collectifs en matière d'environnement. Le compost pourrait ensuite être réutilisé par les citoyens et/ou par la ville. Chaque composteur permettrait de recueillir et de valoriser les matières résiduelles organiques de 15 à 30 personnes.
300 €*
Des espaces de covoiturage, des points de RDV pour se rencontrer et prendre ou se faire prendre en charge. Des endroits faciles à trouver et ou attendre en étant à l'abri. Des abri-bus avec signalétique covoiturage et espace de stationnement... Et pourquoi, en plus, ne pas prévoir une signalétique depuis les principaux accès à Dijon ...
Sport
Association de promotion de la marche urbaine à la rencontre du patrimoine culturel dijonnais. L'idée est de faciliter un rendez-vous dans le quartier pour une marche urbaine afin de promouvoir les événements culturels (concert, musée, pièce de théâtre, opéra...). Une activité physique et culturelle pour une demi-journée conviviale, accessible à tous. Ceci permettrait aux populations des quartiers de (re)découvrir le patrimoine de la ville. Rendre la ville aux piétons en favorisant les déplacements à pieds, et ainsi poursuivre les efforts de la ville en terme d'écologie. LOGO : la chouette dijonnaise piétonne
Les parcs à vélos offrent des loisirs adaptés aux familles. Le besoin de zones d'équitation sécuritaires, durables et progressistes augmente avec la popularité du vélo. Avec plus de 2,8 millions de personnes qui font du vélo, il y a un grand besoin pour chaque communauté d'avoir un espace pour profiter des possibilités de faire du vélo. Les avantages pour la santé des bicyclettes sont largement répandus et bien documentés. De la lutte contre l'obésité et le désordre de la nature au renforcement des liens des amis et de la famille, le vélo a le pouvoir de transformer les communautés. Les parcs à vélos et les pistes cyclables peuvent être intégrés aux systèmes de parcs existants, aux réseaux de sentiers, aux communautés planifiées, placés à côté des étincelles de patin ou utilisés pour réaménager les terrains vacants.
Il serait particulièrement intéressant d'autoriser les vélos dans le tramway. L'objectif est de favoriser l'intermodalité des transports et rendre accessible le tram aux quartiers non desservis tout en promouvant l'aspect "santé" du vélo. Par exemple, pouvoir aller à Valmy en tram et redescendre en vélo. Les exemples sont multiples... Afin de limiter l'encombrement dans les trams, il pourrait être envisagé d'autoriser les vélos, hors heures de pointe, uniquement dans le dernier wagon (par exemple) mais de ne pas le réserver exclusivement aux vélos. Il serait juste "bike friendly" en quelque sorte. D'autres villes le font, Grenoble par exemple (vélos autorisés dans tout le tram tôt le matin et en soirée).
Exposition permanente de photographies Sur un(des) écran(s) numérique, par exemple disposés passage du logis du Roy, diffusion de photographies tous thèmes confondus, pour ne pas concurrencer "Dijon vu par" mais permettre à tou-te-s, sans limite d'âge, d'exposer temporairement quelques photos à la vue de tou-te-s. Diffuser les photos en boucle, en diaporama. Un règlement notifierait les photos à ne pas proposer (rien d'illégal). Une même personne ne pourrait proposer pas plus de deux ou trois photos en même temps, uploadée et validée en ligne par un modérateur.
La volonté flagrante et volontaire de la ville à laisser s’installer l’anarchie sur les trottoirs, notamment tout autour du CHU, participe passablement à entretenir un climat détestable, libertaire voire hostile. Personne ne peut nier ce laxisme insupportable et la nouvelle image d’Epinal, pardon de Dijon où la voiture est roi sur tout chemin piétonnier. La volonté de « ville sans voiture » ne doit pas faire l'économie de son idéal en laissant s’instituer une anarchie comme aveu d’une vision lacunaire et présomptueuse. L’idée est donc d’aller jusqu’au bout du processus citoyen comme écologique et faire respecter les codes et interdits ou alors revoir cet avènement avec plus de recul et discernement.
Ce projet a pour but de faciliter le passage à pied (ou vélo) entre Grésilles et cap nord. Actuellement il faut descendre l'Avenue Champollion et rejoindre à pied ou vélo l'avenue de Dallas. Ou bien remonter tout le stade Epirey et prendre un passage qui longe ensuite la rocade derrière le stade epirey et qui va du LECLERC jusque à l'arrière du parc des Grésilles. Ce passage est boueux par temps de pluie et mal éclairé. Le projet serait donc soit : - la création d'une voie piétonne directe entre rue Joseph Kessel rue de Cracovie au niveau de l'hypermarché LECLERC - la création d'un passage direct entre la rue Marius chanteur (au niveau gymnase Epirey et la rue Clément Desormmes en impasse)
Pour favoriser la mobilité des personnes âgées, proposition d'équiper l'espace public qui longe la voie de tram (comme l'avenue Raymond Poincaré) de mobilier urbain "assis debout" (voir photo). Ceci permettrait le repos sur un long parcours tout en préservant la tranquillité des riverains (qui ne souhaitent pas de bancs susceptibles d'entraîner des nuisances dues à d'éventuels regroupements). Coût peu onéreux et choix large de modèles.
Je constate qu'il existe une grande partie de mon quartier non desservie par les bus ou tram (toute la partie verte sur la carte en PJ). L'idée est de mettre en place des navettes (à l'image de DiviaCity) les jours de marché, les mercredis après-midi, pour facilités les déplacements des habitants. Je vois souvent des "personnes âgées" revenir du marché en trainant leurs cabas remplis. Cela servira aussi aux jeunes pour se rendre aux équipements sportifs ou à la médiatique Champollion ou même pour toute personne désirant relier le réseau de bus ou de tram.
Donnons aux gens la possibilité d'être écoresponsable Plusieurs matériaux qui sont mis dans les poubelles peuvent être recyclés. Les poubelles actuelles ne donnent pas la possibilité aux gens de faire les gestes simples en ville, c'est à dire trier. Les modèles de poubelles allemandes sont exemplaires, mais en France on parle d'écoresponsabilité sans agir vraiment. Pour commencer, les mégots et bouchons plastique doivent être recyclés. Il suffirait d'ajouter à chaque poubelle existante deux tubes, l'un pour récolter les mégots (et il ferait office de cendrier) et l'autre pour les bouchons plastique. Des associations pourraient se charger de ramasser les contenus de ces deux mini-poubelles. Il ne faut pas privilégier une asso par rapport à une autre et diviser équitablement les secteurs de ramassage.
Rallonger la toiture du marché des Grésilles qui est trop courte et ne protège pas les vendeurs les jours de marché
Suite à la vitesse excessive de certains véhicules, la demande concerne l'aménagement de la chaussée qui permette le réduction de la vitesse dans les rue Denis Papin et Boutaric.
Favoriser le lien intergénérationnel en proposant des rencontres conviviales entre les différentes générations. En lien avec les structures de quartier, mettre en place des ateliers co-animés par des jeunes et des seniors (animations, goûters, petits déjeuners...). Un accompagnement, du domicile au lieu d'animation, est proposé aux seniors en perte d'autonomie. Ce projet permet de faire rencontrer les différents publics, d'échanger sur la vie de quartier et d'impliquer les habitants, de faire connaitre les activités et services proposés localement. C'est aussi l'occasion de faire évoluer le regard que porte notre société sur la jeunesse et la vieillesse, de lutter contre l'isolement relationnel, de mettre en lumière la solidarité intergénérationnelle et pour les professionnels du secteur de travailler en multi-partenariat. https://www.youtube.com/watch?v=sxgrHcmu2Ek
Les automobilistes respectent rarement les priorités piétons, le risque est réel. Ne serait-il pas opportun de budgétiser une campagne de sensibilisation pour les automobilistes, afin qu'ils prennent enfin conscience que le piéton, sur un passage protégé est PRIORITAIRE, malgré l'absence de carrosserie ? Dans la cadre d'une démarche active pour que les automobilistes laissent la voiture à l'extérieur du centre ville (parkings-relai, rotations des stationnements en surface, piétonisation de la majeure partie du centre ville...), il serait cohérent d'aider les piétons à prendre leur place. des exemples: un message choc par affichage, spots pendant les matchs du DFCO et dans les cinémas, caméras aux passages piétons, rappel des règles de priorité par la police municipale présente à des points stratégiques dans la ville, mise en place d'amende dissuasive et communication à ce sujet.
Entièrement sécurisée par une clôture, cette zone est composée de plusieurs espaces séparés : un espace où l’on peut éduquer/sociabiliser son chien/chiot, un espace destiné aux loisirs . Dijon et son agglomération représente environ 17000 chiens, et 1 seul espace leur était jusqu’ici consacré. Les propriétaires de chiens pourraient dès lors éduquer, sociabiliser, défouler, divertir leurs compagnons à 4 pattes sans danger, et sans être une « gêne » pour les autres citoyens. ils pourraient également prendre conscience de l'intérêt collectif à éduquer son compagnon et rendre la ville plus propre si des zones comme celle ci voyaient le jour dans chaque quartier...